Et si nous repensions radicalement notre rapport à la ville et au vivant qui l’habite ? Trop longtemps, nous avons conçu nos espaces urbains dans une logique de domination et de séparation vis-à-vis de la nature, reléguant les sols, la biomasse, l’eau, au rang de simples ornements, de nuisances à contrôler, ou d’élément
fonctionnel. Cette vision partielle a non seulement appauvri nos
environnements, mais a également creusé un fossé entre l’humain et son milieu naturel.